Les prévisions budgétaires du gouvernement belge sont toujours en dessous de la réalité, ce qui le force à user de toutes sortes d’entourloupettes pour nouer les deux bouts.
Au même moment, les 240 milliards d’euros qui dorment sur nos comptes d’épargne font loucher d’envie nos grands argentiers. La tentation est grande de se servir.